A blend of 85% Chardonnay and 15% Pinot Noir from Aÿ and a dosage of four grams per liter, the 2009 Dom Ruinart Rosé possesses a complex, vibrant bouquet with aromas of cherry, spring flowers, gooseberry, tangerine, almonds, pastry and slightly reductive elegant notes. Full-bodied, fleshy and vinous, the palate is perfectly balanced, dense and concentrated, with a delicate mousse and a long, saline, penetrating finish. There’s plenty of structure and substance here. There is no reason to wait, but it will age beautifully for another five to eight years.
Le Dom Ruinart Rosé 2007 se montre brillant, débordant d'arômes exubérants d'orange sanguine, de mandarine et de framboise, mêlés à des notes de pain grillé beurré, de brioche et d'épices. Corsé, profond et vineux, il est étagé et élégamment musclé, avec une concentration formidable et une acidité racée, animée par une mousse moelleuse. Se terminant par une finale longue et savoureuse, il est aromatiquement ouvert mais structurellement serré, donc je pense qu'il méritera quelques années de vieillissement en liège, même s'il est difficile d'y résister aujourd'hui. Dans tous les cas, il mérite de participer à toute discussion sur les points forts du millésime 2007 de Champagne.
Composé de 19 % de vin rouge issu du Pinot Noir de Sillery, le Dom Ruinart Rosé 2004 a été dégorgé en février 2016 avec un dosage de quatre grammes par litre. Affichant des arômes complexes de baies rouges, d'écorce d'orange séchée, de pot-pourri, d'iode, de noix grillées et de craie humide, il est moyennement corsé, large et texturé, avec un profil vineux plus multidimensionnel que son homologue Blanc de Blancs, avec des acides vifs et une finale crayeuse.
Dégorgé en juin 2014 avec un dosage de 5,5 grammes par litre, le Dom Ruinart Rosé 2002 comprend 20 % de pinot noir rouge de Sillery et Verzenay. Se déployant dans le verre avec des arômes de brioche, de mirabelle, d'écorce d'orange séchée et de pâtisserie fraîche, il est corsé, ample et gourmand, avec une mousse crémeuse, une délicate prise phénolique et un excellent équilibre. C'est l'une des plus belles interprétations de cette cuvée que j'ai goûtée.
Dégorgé en juin 2014 avec un dosage de 5,5 grammes par litre, le Dom Ruinart Rosé 2002 comprend 20 % de pinot noir rouge de Sillery et Verzenay. Se déployant dans le verre avec des arômes de brioche, de mirabelle, d'écorce d'orange séchée et de pâtisserie fraîche, il est corsé, ample et gourmand, avec une mousse crémeuse, une délicate prise phénolique et un excellent équilibre. C'est l'une des plus belles interprétations de cette cuvée que j'ai goûtée.
Le Brut Rosé Dom Ruinart 1998 que j'ai goûté était remarquablement marqué par sa texture et sa complexité, à la fois par son long séjour sur lies et par son temps considérable en bouteille, sans parler de sa part importante de vin rouge. Cerise acide et rhubarbe, cynorhodon et géranium, thé noir fumé et vieux cuir, zeste de pamplemousse et eau de mer se combinent pour une performance aromatique dont la contrepartie sur un palais encore très séveux et vif mais expansif et richement texturé est d'une longueur satisfaisante. Les quelque 15 % de pinot rouge ajoutés ici à ce qui est essentiellement la même cuvée que le Dom Ruinart blanc de son millésime ont subi une fermentation sur ses peaux plus longue que celle appliquée au rosé « ordinaire » de Ruinart, ce qui peut être l'une des raisons de la profondeur de la noix et de la viande qui ressort en finale. Cela aide certainement à expliquer la sensation revigorante de peau de pomme et de piquant de noyau de cerise. Comme souvent dans le domaine des vins de prestige, on nous demande de payer un énorme supplément par rapport au vin blanc correspondant, mais dans ce cas, on paie aussi pour un vieillissement supplémentaire considérable. Et cette impressionnante bouteille pourrait facilement rester ainsi pendant plusieurs années encore.
Importé par Moet Hennessy, New York, NY ; tél. (212) 251-8200